« Plus que de déportation, ma pièce parle d’espoir. »
« La pièce est contradictoirement joyeuse. Cette gaîté est reliée à ce qu’était Etty, à sa puissance de vie dans le camp, qui arrive à capter, à voir la beauté autour d’elle. D’où cette mise en musique avec Julie Castel Jordy au chant et Julien Lot à la guitare, symbole de la vie qui jaillit malgré tout. Etty a conscience de la situation, mais elle croit en l’humain. J’ai respecté ses écrits mais je voulais apporter mon regard. Je me suis autorisée des échos entre l’Europe de l’époque et celle d’aujourd’hui, avec la situation des migrants notamment. »
Propos recueillis par Hélène Deplanque, La dépêche du Midi, 1er décembre 2021
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